Cire Trudon, du pot à la peau
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À quelques jours de Noël, nous avons dressé une liste (non exhaustive) des publicités de parfums qui ont croisé notre regard dans la rue. Voici une appréciation - évidemment très personnelle - de ce qui vaut vraiment le coup de nez.
il y a 13 heures
Certaines senteurs sont genrées, d’autres non ou moins. Dans la catégorie unisexe, un parfum(…)
il y a 15 heures
Bonjour, Farnesiano. "Le Critique de parfum" (anonyme mais à mon avis un nez) écrit ça : "Hermès(…)
hier
Bonsoir, Je ne sais où placer mon intervention sur Barénia, le dernier Hermès sorti il y a(…)
Nombre d’or de l’iris
Songe d’une nuit des thés
Désert brûlant
Belle découverte que ces parfums de la maison Trudon, il y a une semaine. Avec un coup d’arrêt brutal et immédiat - du coeur, naturellement - sur Mortel. Mortel m’a laissé une sensation étrange. Avant d’entrer dans la cathédrale gothique, il me faut en effet passer par le souvenir d’une case africaine envoûtée d’épices, de bois résineux et de sueurs âcres.
Mortel est animal. Il n’a pas la subtilité florale et caramélisée de Cardinal, de James Heeley, et se rapproche plus d’Avignon, de Comme des Garçons : tous deux m’ont été conseillés dans cette famille ecclésiale des résines orientales, oliban myrrhe benjoin… Sont-ils si nombreux sur la liste ? (hormis en outre, Rêve d’Ossian). Cela me ferait plaisir de le savoir... Mortel tient ses promesses d’oriental pur et dur. Caractérisé, viril et puissant, mûri au soleil couchant, il me ramène à la source d’un Orient embaumant, suave, entêtant.