Mitsouko
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Compositrice de fragrances indépendante et rédactrice pour Nez, la créatrice nous explique comment le parfumeur se joue de notre odorat avec sa palette.
il y a 3 heures
L’actuelle version EDP, testeur neuf en grand magasin, n’est franchement pas à négliger. Moins(…)
Lavande délavée
Église en flammes
Fraîcheur souterraine
Bonjour Beer Luc,
j’entends bien vos arguments mais là il ne s’agit pas de tenue, mais de rendu ; si j’en mets peu, il est vraiment déplaisant, je dois doubler voire tripler la dose pour le trouver agréable à porter. Et c’est bien la première fois que ça m’arrive avec un parfum. J’ai porté Poison pendant 15 ans, toujours avec beaucoup de parcimonie (un pschit sur la nuque, un autre dans le décolleté et basta), et je le sentais toujours, même après toutes ces années. Idem pour N°5, ou encore Arpège qui, au-delà de trois vaporisations a vite tendance à devenir écoeurant.
(Quand je pense que certaines fans de For Her EDP arrivent à ne plus le sentir et se croient obligée d’en remettre en cours de journée... au secours !)
Mitsouko a été mon premier vrai parfum, et mon dieu que je l’ai aimé celui-là. Mais aujourd’hui ça ne veut plus, je vais devoir me faire une raison. Ou alors, m’en vaporiser au lance-flamme les jours où je ne risque pas de croiser qui que ce soit ^^