Mitsouko
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À travers cette quatrième création, Isabelle Larignon imagine un personnage en quête de liberté, cherchant l’exode à la faveur d’une longue soirée d’été.
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Nuit blanche
Volutes et voluptés
On dirait le Sud
Bonjour à tous,
Décidément, ce satané Mitsouko 2018 n’en finit pas de me faire réagir. Quand je l’ai reçu il y a un mois je l’ai trouvé insupportable : grinçant, acide, limite métallique, tout ce que je déteste. Si un son pouvait être associé à une odeur, ce serait celui des ongles sur un tableau noir.
Mais ce matin j’ai décidé de lui redonner sa chance ; je sais que beaucoup l’aiment en automne, mais moi c’est aux beaux jours que je le préfère. Sauf que cette fois j’ai mis la dose, bien au delà de mes trois pschits habituels. Et ma foi, là je le retrouve et je me régale enfin. Il faudrait que teste cette méthode avec quelqu’un pour me sentir et me dire si je cocotte ou si c’est supportable, même si au fond... je m’en fiche un peu, très égoïstement.
Tant que j’y suis tiens, avez-vous déjà eu la même expérience avec un parfum, où la surdose se trouve être la bonne dose pour qu’il donne son plein potentiel, auquel le "juste un peu" ne rend pas service ?
Sur ce, bon dimanche ensoleillé à tous ;)