La nouvelle adresse de IUNX
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Interrogeant les mondes visuels et olfactifs, deux expertes échangent en écho au dossier publié dans le dix-huitième numéro de Nez, la revue olfactive.
il y a 21 heures
Toute une époque que ce VC Pour Homme ! Cuir suave d’une complexité envoûtante. Un grand masculin(…)
il y a 21 heures
Bonsoir Adhara, Merci de nous avoir communiqué cette bonne nouvelle. En fan de ce mythique(…)
il y a 21 heures
Profitez-en il y a une promo sur leur site web en ce moment sur plusieurs références(…)
Jardin impressionniste
Lavande délavée
Église en flammes
Le concept donne envie, ces "fleurs" d’olfaction également, le lieu semblait tellement beau, presque intimidant (et disons-le, au point d’avoir la crainte d’un accueil guindé et distant) : la boutique IUNX était une étape du périple parfumé parisien de ce week-end.
Et je n’ai pas été déçue !
Du passage au dessus des corolles, 3 eaux se sont distinguées : l’Eau Argentine (cette odeur de foin, madeleine des séjours de mon enfance dans la ferme de mes grands parents), l’Eau Blanche (quelle douceur...) et l’Eau qui pique (le feu et le frais à la fois !). Après essai sur touche, 2 eaux se sont trouvées admissibles au test sur peau : l’Eau blanche et l’Eau qui pique. Alors que j’étais hésitante, la vendeuse ( très à l’écoute et fort sympathique), mon homme et un ami qui nous accompagnait ont été unanimes : l’eau qui pique !!
(C’est assez amusant d’ailleurs, alors que je me sens en ce moment plutôt encline à des eaux douces, cocon, enveloppantes, ma peau vibre avec les odeurs plus dynamiques).
Bref, vapo et recharge dans la valise, l’Eau qui pique est un plaisir réel surprenant, détonnant, et au final pourtant assez réconfortant...