L’Eau des Merveilles
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La fondatrice de Sabé Masson et le fondateur de The Different Company reviennent sur les défis rencontrés par les maisons de parfum indépendantes.
il y a 6 jours
Oui, le site Guerlain m’a répondu la même chose. Vol de nuit n’y est plus vendu mais on peut(…)
il y a 1 semaine
Bonsoir, pour ma part et pour avoir porté les deux sur de longues périodes, je ne trouve pas du(…)
il y a 2 semaines
Comme vous l’avez admirablement décrit ! Il a été depuis supprimé du catalogue. J’ai trouvé un(…)
Eau écarlate
Nuit blanche
Volutes et voluptés
J’ai justement aimé dans l’eau des merveilles le fait qu’il ne contienne pas de fleurs, mais c’est surtout le travail de l’ambre gris et des épices qui m’a plu. Dans le billet que j’ai écrit sur mon blog, j’ai mis l’accent sur son côté pétillant, c’est effectivement la sensation qui me reste présente au nez même sur le fond, du aux épices et surement à la construction chimique. Je suis cela dit d’accord avec vous, il est à utiliser avec doigté car son sillage et sa rémanence sont particulièrement puissant. Je me pose une question au sujet de l’ambre gris : cette matière n’est-elle vraiment plus utilisée en parfumerie ? En effet, on sait depuis longtemps que les muscs (comme la civette) à l’état naturel sont rigoureusement interdit en parfumerie pour des raisons évidentes de protection du bouquetin qui le produit. Cependant l’ambre gris est libérée de façon naturelle par le cachalot et il n’est pas nécéssaire de tuer l’animal pour l’obtenir (surtout que ce n’est pas une petite bête...). Est-elle encore légale à l’état naturel en parfumerie ? Est-elle très chère ?