L’Eau des Merveilles
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Le vintage est à la mode et de nombreuses maisons (plus ou moins) historiques ont relancé récemment des collections de parfums après de longues années d’absence ou de discrétion. Nous vous proposons un tour d’horizon de ces fragrances revenantes.
il y a 5 jours
J’avais senti par curiosité la version elixir de la Panthère, et lui avais trouvé quelque chose de(…)
il y a 5 jours
Selon moi, la version élixir de "La panthère" est la variation vanille et fleur de tiaré (monoï)(…)
il y a 6 jours
Dans les années 80, les parfums avaient du coffre. Ils sentaient le cuir, la mousse, l’audace.(…)
Bonbon solaire
Faits et zestes
Brut de gousse
J’ai justement aimé dans l’eau des merveilles le fait qu’il ne contienne pas de fleurs, mais c’est surtout le travail de l’ambre gris et des épices qui m’a plu. Dans le billet que j’ai écrit sur mon blog, j’ai mis l’accent sur son côté pétillant, c’est effectivement la sensation qui me reste présente au nez même sur le fond, du aux épices et surement à la construction chimique. Je suis cela dit d’accord avec vous, il est à utiliser avec doigté car son sillage et sa rémanence sont particulièrement puissant. Je me pose une question au sujet de l’ambre gris : cette matière n’est-elle vraiment plus utilisée en parfumerie ? En effet, on sait depuis longtemps que les muscs (comme la civette) à l’état naturel sont rigoureusement interdit en parfumerie pour des raisons évidentes de protection du bouquetin qui le produit. Cependant l’ambre gris est libérée de façon naturelle par le cachalot et il n’est pas nécéssaire de tuer l’animal pour l’obtenir (surtout que ce n’est pas une petite bête...). Est-elle encore légale à l’état naturel en parfumerie ? Est-elle très chère ?