L’Eau de Virginie
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Julien Rasquinet fait le choix d’une interprétation tellurique pour donner corps (et odeur) à un numéro riche en symboles.
il y a 2 jours
Bien joli parfum que celui-ci mais comme pour Nez inexpert qui le décrit très bien, cette(…)
il y a 2 jours
Elle n’a pas l’air d’émouvoir les foules, cette Hermessence. Trois ans après le lancement, me voici(…)
il y a 4 jours
Bonjour à toutes et tous, Je craignais une reformulation, mais fort heureusement, non. Si elle(…)
Des airs de famille
Bain d’épices
Petitgrain devient grand
Étrange parfum que cette Eau de Virginie ! Il est presque repoussant dès les premiers instants suivant la pulvérisation. Très camphré, puissant, ne cherchant pas à jouer la carte de la séduction ni de la féminité, il a quelque chose de "costaud", presque viril. Plutôt potion de "sorcier" avec des notes quasiment fumées de Lapsang Souchong. Puis au fil de la journée, tout cela rentre dans le rang. Je n’écrirais pas "s’adoucit" car la douceur n’est pas dans ses gènes. Disons plutôt qu’il s’installe en majesté dans un rayonnement puissant qui n’appartient qu’à lui. Et finalement je le trouve très séduisant avec ses facettes épicées, son foin séché, toute une herboristerie sèche qui donne une couleur et une puissance inédite à ce bouquet de fleurs d’ordinaire exotiques et ici tout droit sorties du laboratoire d’un apothicaire. Voilà qui vous "pose" face à votre entourage et vous apporte une grande confiance en soi. Magnifique... comme son flacon en effet.