Les parfums de la honte
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La maison Violet nous a habitués à des lancements de qualité, et celui-ci ne fait pas défaut.
il y a 3 semaines
Je ne sais pas si un message sur un post aussi vieux sera lu mais il me reste toujours du jus(…)
Des airs de famille
Bain d’épices
Petitgrain devient grand
Bonjour Beer luc. Effectivement bon nombre de matières premières qu’elles soient sous forme d’essences pures ou d’huiles hautement concentrées ne sentent pas toujours très bon. Par ailleurs, il est parfois bien difficile de pouvoir les distinguer, c’est mon cas, je n’ai pas un excellent nez. Cela sent tour à tour la cire, la résine, le bois, le cramé, le caoutchouc, que sais-je encore. Mais lors d’un récent passage à Paris, mes pas m’ont mené tout à fait par hasard au n° 45 de l’avenue George V chez Abdul Samad al Qurashi. Un monsieur extrêmement gentil m’a fait sentir beaucoup de choses, certaines étonnantes, dont l’oud authentique, si c’est celui que vous évoquez. J’en ai gardé la mouillette. Et à mes petites narines avides de découvertes, ça ne puait pas du tout. A la puissance détonante du départ de la découverte suit une sensation d’une étrange douceur, veloutée, presque duvetée, mais sombre, très profonde et terriblement intrigante. C’est puissant mais pas agressif, animal peut-être, mais pas fécal, et encore moins vulgaire, et assez addictif ! A la limite, le parfum se suffirait à lui seul... Je ne le porterais pas pur mais j’y porterais souvent mes narines curieuses. Bonne journée et encore merci pour vos éclaircissements.
P.-S. Je suis sorti de la boutique avec un flacon de 100 ml vraiment pas cher : Masari pour homme, un oriental guère original mais qui a eu le bonheur de plaire en me paraissant être une espèce de mixte de Dioressence et de Lauder for men.