Nuit et confidences
Signaler un abus
Vous devez être connecté pour signaler un abus.
Vous devez être connecté pour signaler un abus.
Interrogeant les mondes visuels et olfactifs, deux expertes échangent en écho au dossier publié dans le dix-huitième numéro de Nez, la revue olfactive.
hier
Toute une époque que ce VC Pour Homme ! Cuir suave d’une complexité envoûtante. Un grand masculin(…)
hier
Bonsoir Adhara, Merci de nous avoir communiqué cette bonne nouvelle. En fan de ce mythique(…)
hier
Profitez-en il y a une promo sur leur site web en ce moment sur plusieurs références(…)
Jardin impressionniste
Lavande délavée
Église en flammes
Bonsoir à tous,
Il me semble à lire de nombreux commentaires que beaucoup considèrent les marques de niche comme la planche de salut pour un Artisanat en voie d’extinction chez les grandes marques traditionnelles de parfumerie. Celles-ci accepteraient de plutôt bon gré les contraintes imposées par la réglementation de l’IFra car elles trouveraient ainsi un moyen commode de justifier le remplacement des matières naturelles coûteuses par d’autres synthétiques et d’engranger ainsi des bénéfices encore plus confortables. Le problème est que les contraintes de l’IFra concernent tout le secteur de la parfumerie. Les petites maisons aussi doivent se plier au casse-tête des reformulations. De belles créations nées de la parfumerie de niche pâlissent des restrictions sur les matières premières. En d’autres termes, mainstream et niche sont sur le même bateau et voguent vers un horizon bien sombre. Je suis désolée de jouer les Cassandre .... mais en l’absence de remise en cause des interdits et de la tendance actuelle d’une réglementation impitoyable et toujours plus restrictive , je ne vois pas d’autre solution que de faire des stocks de nos jus préférés tant qu’ils ne sont pas trop défigurés ....