Collection Ianco : Gelsomino, Zagara, Mandorlo
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Héliodose se propose de connecter le monde végétal au règne animal par le biais de l’indole. Attention, ça décoiffe !
hier
Great but I’m not into insecure Beta men with a Trump’s fellatio syndrome
hier
Inutile de jouer les victimes Donnie. La petite pique sur le flaconnage non genré et écolo qui(…)
Amande complète
Fleur de bonne humeur
Déesse dans le boudoir
On se doit de commencer par remercier ceux qui ont permis de tester ces nouveaux parfums, AuParfum en tête ! Voilà qui est fait !
Je n’osais pas écrire la première mes impressions hésitantes sur ces 3 nouveautés…
J’ai apprécié la présentation bien que les vapos se soient un peu vidés dans le voyage, apprécié aussi la délicate attention de la carte jointe avec ces saluti hyper-parfumés. J’avais un très grand, très fort, très chaud a priori favorable, la Sicile, grand amour, et Noto, souvenir tellement profond. Bref une grande impatience.
J’ai commencé par Gelsomino, comme son nom l’indique : jasmin. J’ai trouvé une sorte de fleuri dans lequel je n’ai pas reconnu le jasmin. Après lecture de l’article ci-dessus, sans doute un mélange floral trop fondu pour que le jasmin me soit perceptible. Rien qui corresponde à la description de la présentation. Mais ce que je reproche le plus à Gelsomino, c’est que ce parfum reste identique à lui-même, en tous cas sur ma peau. Oh ! pas désagréable du tout, agréable même, mais un peu plat, sans rien qui tranche, qui excite mes papilles. Pas de sillage, pas de tenue.
Le lendemain, j’ai testé Mandorlo. C’était mieux. J’aime l’odeur d’amandes amères, très perceptible, dominante, et le patchouli discret en dessous, tout ça bien poudré. Le poudré qui se renforce un peu progressivement. C’est bon, ça marche. Mais là, encore une fois, peu d’évolution, pas de surprise. Un sillage cependant vraiment plaisant, qui tient bien la route.
Puis ce fut au tour de Zagara, avec son sous-titre Neroli. Oui, fleur de bigaradier, bien sensible. Mais rien d’aphrodisiaque comme le neroli devrait l’être. Et ce qui m’a frappé c’est l’étonnante parenté avec le Jasmin Neroli de Pierre Hermé, pour Fragonard je crois, il y a quelques années. Celui de Via dei Mille est plus discret et plus élégant, plus raffiné sans doute, mais un soupçon de déjà senti, tout de même. Mon compagnon me disant : tu l’as déjà eu, celui-là ! Evidemment Zagara est un tant soit peu plus cher, ce qui ne permet pas de confusion !!!!!
Résumé : des parfums bien chers, agréables, portables, mais on ne ferait pas cinquante kilomètres pour se les procurer. Dommage !