Prada Amber
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Compositrice de fragrances indépendante et rédactrice pour Nez, la créatrice nous explique comment le parfumeur se joue de notre odorat avec sa palette.
il y a 9 heures
L’actuelle version EDP, testeur neuf en grand magasin, n’est franchement pas à négliger. Moins(…)
Lavande délavée
Église en flammes
Fraîcheur souterraine
Il y a des parfums que l’on porte pour une raison précise : se rafraichir avec un hespéridé en été, porter un chypre (de préférence vert) quand on a envie d’instaurer une certaine distance entre soi et les autres (parfum « carapace » ), un floral léger pour se sentir un peu plus jeune, un boisé ou un cuiré lorsqu’on veut mettre en avant son côté sérieux, un oriental pour séduire.
Evidemment, tout cela est subjectif et n’est en aucun cas une ligne de conduite : rien ne m’empêche de porter des orientaux sensuels sur mon lieu de travail, même si mon intention en m’y rendant n’est absolument pas de séduire.
Je fais cette introduction un peu générale parce que ce Prada ne représente rien de tout cela pour moi. J’ai fait sa connaissance au milieu d’un lot de 6 miniatures acheté sur internet. Je l’ai testé sur poignet, l’ai bien aimé en amatrice habituelle des orientaux, puis je l’ai porté, plusieurs fois. Et plus je le portais, plus je l’aimais sans bien savoir pourquoi… Et puis l’évidence : quand je porte ce parfum, je me sens « moi », et c’est tout, du coup c’est difficile d’écrire dessus.
Par contre, je constate qu’il n’est plus référencé sur certains sites, j’aime pas ça...