Hugo
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Décidément, les parfums Courrèges filent un joli coton. Présenté par la marque comme le « récit d’un soir d’été », celui-ci offre un sillage intime et délicatement régressif.
il y a 12 heures
Bonjour Dioressence ? Je ne sais pas si on peut le qualifier de sec mais une fine brume de(…)
Église en flammes
Fraîcheur souterraine
À fond la gomme
Pour moi, le parfum Hugo est et resteras l’odeur qui représentais l’homme idéal de mon adolescence.
Un parisien, sans aucun doutes. Brun, souriant et mystérieux, surement habillé d’un costume sobre mais se pavanant dans les rues de la capitale, les cheveux aux vents, le parapluie ouvert en main, laissant une odeur particulière derrière lui. Celle ci.
En effet, le coté fruité de cette flagrance est, pour moi, très adapté et assez dynamique pour convaincre une cible jeune et vivante que l’on peut trouver en capitale .
Les notes si fraîches de départ invoquent pour moi un été joyeux (musical surement) et qui pétille comme le pamplemousse, me piquant presque le nez.
Le parfum se radoucit ensuite avec des odeurs plus florales, comme celle du jasmin que l’on reconnait vite. Je redescent ainsi dans ma campagne de Grasse, fleurie et acceuillante, ensoleillée.
Pour finir, l’odeur qui me plait le plus dans ce parfum : celle du bois de Sentai qui imprègne la peau et qui invoque le luxe. Elle est surement la touche de masculinité bien dosée qu’il aurait manqué, celle qui reste en bouche et sur les tissus, dans le nez et dans les esprits.
Avec ce parfum, je me laisse donc facilement porter d’odeurs en odeurs, passant des fruits aux fleurs, des fleurs au bois et du bois au Paris luxueux de mes rêves.
Hugo Boss a donc, grâce a ce parfum, marqué une très belle image dans mon cerveau. L’image d’une marque masculine mais classe.
Jeune, mais pas trop.