A*Men
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Parce qu’à l’approche de l’hiver, les sillages se font volontiers plus ambrés, plus ronds, plus chaleureux, nous vous proposons cette nouvelle revue de sorties, consacrée à une matière que l’on croyait trop rebattue pour encore surprendre.
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Faits et zestes
Brut de gousse
Sillage anthracite
A*Men est le parfum de mon père depuis sa sortie, ce qui ne lasse pas de m’étonner tant cette association me semble insensée sur le papier et cohérente lorsque je le sens sur lui ! Quinqua grisonnant d’allure plutôt austère, j’ai toujours trouvé étonnant qu’il choisisse ce monument d’originalité et lui reste fidèle. Quoiqu’il en soit, je dois admettre une chose : A*Men lui va bien, et sent divinement bon sur lui. Je ne suis pourtant pas un grand client de parfums sucrés, mais justement je trouve que dans ce parfum de Thierry Mugler la facette pâtissière n’est qu’une façade qui chatouille les narines (j’ai souvent eu en tête l’odeur des chocolats After Eight...) avant de dévoiler un fond bois-patchouli drôlement équilibré.
Logiquement, je lui en ai donc un peu piqué parfois ;)... Rien à faire, avec moi ça ne marche pas. Trop gourmand, un peu trop in-your-face aussi... Je comprends très bien la lassitude qu’il peut provoquer. En revanche je suggère à ceux qui s’en sont fatigués ou le trouvent un peu trop présent d’aller faire un tour du côté de chez Serge Lutens sentir Borneo 1834 : même alliance cacao-patchouli, mais traitement plus discret, plus en finesse, qui leur donnera peut-être satisfaction ?...