Grimoire
Signaler un abus
Vous devez être connecté pour signaler un abus.
Vous devez être connecté pour signaler un abus.
À travers cette quatrième création, Isabelle Larignon imagine un personnage en quête de liberté, cherchant l’exode à la faveur d’une longue soirée d’été.
il y a 2 jours
Comme vous l’avez admirablement décrit ! Il a été depuis supprimé du catalogue. J’ai trouvé un(…)
il y a 5 jours
Quelle chance ! J’ai retrouvé une ancienne vendeuse du défunt Barneys New York au corner Guerlain(…)
il y a 5 jours
Dans les années 60, Câline de Jean Patou fût le premier parfum réservé aux jeunes filles. En avance(…)
Nuit blanche
Volutes et voluptés
On dirait le Sud
Je ne le trouve pas difficile à porter. Il est certes très signé, singulier même mais comme Incarnata, duquel il diffère sur plusieurs aspects, il se fond assez vite à la peau et reste tout au long de son évolution très confortable. L’ayant commandé à l’aveugle (sans aucun regret), j’appréhendais un peu la note cumin qui, quoique présente, n’envahit pas l’ensemble.
Les moines ont quelques secrets peu avouables mais cela ne m’évoque pas la malpropreté, la peau oui, et disons les contacts de cette dernière. Anatole a une signature que l’on retrouve en fil conducteur dans toutes ses créations. Elles ont chacune leur histoire mais appartiennent toutes à un même univers, charnel et faisant référence à des temps passés, à la fois lointains et proches.
Grimoire a quelque chose du vieux manuscrit, celui sur parchemin, remisé précieusement dans le scriptorium humide. La potion du jardin des simples, je l’ai senti dans autre chose, mais c’est une histoire peut-être en devenir et je n’en dirai pas davantage