L’Artisan se parfume au Oud
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Un iris majestueux qui se démarque par sa fraîcheur florale et printanière.
il y a 4 heures
Toute une époque que ce VC Pour Homme ! Cuir suave d’une complexité envoûtante. Un grand masculin(…)
il y a 4 heures
Bonsoir Adhara, Merci de nous avoir communiqué cette bonne nouvelle. En fan de ce mythique(…)
il y a 4 heures
Profitez-en il y a une promo sur leur site web en ce moment sur plusieurs références(…)
Lavande délavée
Église en flammes
Fraîcheur souterraine
Étrange mutation. Les amateurs et amatrices d’Al Oudh se doivent impérativement d’acheter, s’ils la trouvent encore, l’ancienne version de ce parfum, signé Bertrand Duchaufour, dans son flacon oriental limite kitsch - qu’on peut ne pas aimer/ moi j’ai fini par l’adorer : les couleurs mêmes sont celles de ce formidable mixte d’odeurs. Certaines boutiques soldent leurs flacons ancien packaging, courez-y car, soyons clair, le parfum a changé, il n’est plus le même. Les merveilleuses épices divinement fleuries qui vous plongeaient entre ombre et lumière dans un marché oriental en début d’après-midi, semblent désormais écrasées, et ce dès le départ, par un oud puissant, sombre, vespéral et très/trop cuiré, qu’un iris plutôt gras voudrait poudrer... Moins complexe, moins subtil et paradoxalement moins fauve, cet oud facile et somme toute commercial me rappelle celui qu’on repère dès le premier sniff dans tant de créations contemporaines.
Peut-être réussi pour ceux qui n’ont pas connu l’ancienne version, l’Al Oudh actuel m’invite à un voyage moins estival et surtout moins lumineux. J’aimais tant l’aspect " sueur " de l’ancienne version...
Étrange mutation, disais-je.