Guerlain, Chanel : grandeur et grosses dépenses
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Décidément, les parfums Courrèges filent un joli coton. Présenté par la marque comme le « récit d’un soir d’été », celui-ci offre un sillage intime et délicatement régressif.
il y a 22 heures
Bonjour Dioressence ? Je ne sais pas si on peut le qualifier de sec mais une fine brume de(…)
Église en flammes
Fraîcheur souterraine
À fond la gomme
Bonjour,
Je viens radoter un peu dans le débat.
Ces éditions impayables destinées à une "élite" de collectionneurs ou de pétrodollars parfois poudrés sur les narines me laisse un peu froid. On n’est vraiment pas sur la même planète. Et en effet, L’Eau N°5 à 8.500€... C’est un gros sent bon... Le conseil d’opter pour l’extrait est plus que pertinent avec un bémol : les narines 2016 frétillent avec L’Eau, pas avec l’autre, celui des "vieilles".
Mais plus particulièrement, du point de vue des marques et de leurs cerveaux marketeurs, QUID de ceux qui réellement les suivent et les font vivre à force d’achats anonymes et réitérés au gré des envies et/ou des possibilités ? C’est de là, non, que vient la vraie rentabilité et la reconnaissance via cotation des actions... Le reste c’est une vie de sérail et de papier glacé.
Pour ceux qui s’en souviennent, j’aimais bien cette illusion savamment entretenue dans les années 2000 débutantes de faire partie d’un "Cercle" spécial auquel j’adressais par courrier des petits cartons (les codes à enregistrer n’ont jamais fonctionné) et ensuite me parvenaient des miniatures, échantillons et autres "teasers" étoilés... L’addiction était orchestrée et entretenue au bénéfice de chacun. Et, à cette époque, l’Ange était vraiment un Démon de tenue et sillage. Maintenant c’est un pigeon IFRA déplumé tristounet.
Bon dimanche à tou(te)s.