Baptême du feu et Veilleur de nuit, les Serge Lutens de la rentrée
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À quelques jours de Noël, nous avons dressé une liste (non exhaustive) des publicités de parfums qui ont croisé notre regard dans la rue. Voici une appréciation - évidemment très personnelle - de ce qui vaut vraiment le coup de nez.
il y a 1 heure
Vous semblez oublier les notes poivrées ou les notes de baies qui apportent tout leur charme à(…)
il y a 2 jours
Où donc ai-je lu à propos de 1000 que Luca Turin recommandait à la gent masculine le port de(…)
Nombre d’or de l’iris
Songe d’une nuit des thés
Désert brûlant
Je suis bien d’accord avec vous : prose poétique creuse et amphigourique, esthétique qui tourne un peu en rond, prix accessibles aux seules princesses saoudiennes ou qataries, mesquinnerie des quantités, Serge Lutens s’est éloigné de la démarche artistique qui était la sienne, et des amateurs de parfum, pour épouser pleinement les vaines et vénales séductions d’un tiroir-caisse doublé de vison. Lui qui incarnait une si originale alternative au star-system, en est aujourd’hui l’un des acteurs. Hélas, trois fois hélas.