Baptême du feu et Veilleur de nuit, les Serge Lutens de la rentrée
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Un siècle après l'Exposition internationale des arts décoratifs et industriels modernes, trois experts explorent son influence sur le parfum.
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Bonjour Nez inexpert, Pour vous consoler, je ne saurais trop vous conseiller Vétiver Royal(…)
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J’ai enfin trouvé son remplaçant, Sauvage de Dior, qui n’a rien à voir au niveau fragrances, mais(…)
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Bonjour tristesse. On fait tout une smala d’un insignifiant village, dans un quasi-pays,(…)
Volutes et voluptés
On dirait le Sud
Bain de tendresse
Je suis bien d’accord avec vous : prose poétique creuse et amphigourique, esthétique qui tourne un peu en rond, prix accessibles aux seules princesses saoudiennes ou qataries, mesquinnerie des quantités, Serge Lutens s’est éloigné de la démarche artistique qui était la sienne, et des amateurs de parfum, pour épouser pleinement les vaines et vénales séductions d’un tiroir-caisse doublé de vison. Lui qui incarnait une si originale alternative au star-system, en est aujourd’hui l’un des acteurs. Hélas, trois fois hélas.