Parfums : les nanars de l’été
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Un siècle après l'Exposition internationale des arts décoratifs et industriels modernes, trois experts explorent son influence sur le parfum.
hier
De mon flacon original acheté fin 1988, au retour d’un voyage à Venise où je l’avais senti non loin(…)
il y a 2 jours
Bonjour Nez inexpert, Pour vous consoler, je ne saurais trop vous conseiller Vétiver Royal(…)
il y a 2 jours
J’ai enfin trouvé son remplaçant, Sauvage de Dior, qui n’a rien à voir au niveau fragrances, mais(…)
Volutes et voluptés
On dirait le Sud
Bain de tendresse
Flipo, Lorson, Wasser, Cresp ! comment exprimer poliment ma colère ?
Tous ces parfumeurs ont les qualités créatives pour proposer des parfums construits, originaux, signés même, leurs griffes respectives étant souvent reconnaissables quand on leur laisse un peu de liberté. Nous avons donc affaire avec une double honte dans ce métier de la parfumerie.
1. Des maisons qui ont abandonné tout ou partie de la direction créative à des marketeurs décérébrés et myopes.
2. Des parfumeurs qui abdiquent tout respect de leurs compétences pour faire les toutous et composer des nanars anonymes et sans humour (au moins Serrault en son temps tournait des nanars hilarants) mais pour une somme (très très) confortable.
Merci Jeanne, ça fait tellement de bien de lire ça, un grand vent de liberté, de lucidité, dans ce milieu bien clos et rempli de fumée (ou poudre aux yeux).
Et comme je suis snob, j’écris ça en portant Jubilation 25 d’Amouage, en extrait, c’est cher, c’est somptueux, c’est Lucas Sieuzac, c’est fuck you !