Tranoï & Indélébile, et si vous y allez ?
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Julien Rasquinet fait le choix d’une interprétation tellurique pour donner corps (et odeur) à un numéro riche en symboles.
il y a 1 mois
Je ne sais pas si un message sur un post aussi vieux sera lu mais il me reste toujours du jus(…)
Des airs de famille
Bain d’épices
Petitgrain devient grand
Trop bien, ton avatar ! :-)))
Moi aussi, j’ai eu le t-shirt graffé au parfum indélébile, et "indélébile", ça n’est pas que pour la couleur... Olfactivement parlant aussi, c’est du tenace : ce matin, tout mon appartement embaumait, et je sens que je vais économiser des bougies parfumées pendant plusieurs jours... ;-pp
Par contre, sur mon poignet, si le parfum a tenu hier face aux lavages de main, il n’a pas résisté à la douche de ce matin après le footing...
Pour parler du parfum en soi, je dirais qu’il est un peu space et qu’il faut s’y habituer : dans la démarche, je le rapprocherais de M/Mink, mais là où le Byredo m’évoque un atelier d’artiste avec son côté thérébentine et encre d’imprimerie, le parfum indélébile est davantage sur un aspect "industriel", avec un accord de marqueur et de peinture, auxquelles s’ajoutent des notes aromatiques (basilic, estragon) et un coté un peu amandé...
Nous avons passé une excellente soirée : déjà, le cadre était bien sympa, sur le toit de l’institut de la mode, en plein air, avec vue sur... mon bureau !!! (bon, ça, c’est la loose, mais personne n’y peut rien :-))))
ensuite, Philippe Di Meo manie la bombe aerosol comme personne (enfin si : comme Toxic, le graffeur, car ils étaient deux à décorer nos t-shirts)
et l’instant a été immortalisé par Domik, donc avec un peu de chance, les images (ou le film) sont visibles quelque part...
Encore merci à AP !