Dolce Vita
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Compositrice de fragrances indépendante et rédactrice pour Nez, la créatrice nous explique comment le parfumeur se joue de notre odorat avec sa palette.
il y a 20 heures
Bonjour, j’adore ce parfum, il me reste un fond de flacon que j’économise. Il devient(…)
Lavande délavée
Église en flammes
Fraîcheur souterraine
Je l’attendais depuis longtemps, Newyorker l’a fait ! Je ne comprenais pas pourquoi Dolce vita n’avait pas sa chronique (au passage j’attends toujours celle de Boucheron, de l’Heure exquise...). Je me disais qu’il était jugé moins noble que Féminité du bois mais enfin une injustice est réparée. D’autant plus que contrairement à Féminité du bois, il n’a presque pas subi la defiguration de la reformulation. Newyorker l’a très bien décrit : douceur, épanouissement et accomplissement personnel. Pas d’esbrouffe, pas de note criarde tape à l’oeil. Simplement, une sensualité boisée relevé par une pincée de cannelle toute en délicatesse mais pas non plus effacée, loin de là ! En plus, c’est une eau de toilette mais quelle tenue, quel sillage ! Pour en revenir avec les années 90, j’aime aussi beaucoup Yvresse avec sa belle note de pêche abricotée. Encore merci Newyorker d’avoir réparé cette injustice !