Une vanille au clair de lune, par Aedes de Venustas
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À quelques jours de Noël, nous avons dressé une liste (non exhaustive) des publicités de parfums qui ont croisé notre regard dans la rue. Voici une appréciation - évidemment très personnelle - de ce qui vaut vraiment le coup de nez.
il y a 19 heures
Vous semblez oublier les notes poivrées ou les notes de baies qui apportent tout leur charme à(…)
il y a 3 jours
Où donc ai-je lu à propos de 1000 que Luca Turin recommandait à la gent masculine le port de(…)
Nombre d’or de l’iris
Songe d’une nuit des thés
Désert brûlant
Bonsoir, Rose. J’ai testé, il doit y avoir un mois et un peu trop vite sans doute, ce Cierge de Lune. Ma première réaction fut de me dire : Tiens, c’est tellement différent de ce que cette marque (sublime à mes yeux) nous a déjà proposé ! Déjà l’idée même d’une vanille au sein d’une collection qui rassemble ces merveilles si subtiles, si élégantes, si racées et pourtant tendres, que sont Iris Nazarena, Oeillet Bengale, Copal Azur, Palissandre me semblait étrange, sinon hors de propos. Mais pourquoi pas ?! Pellegrin a créé pour Diptyque, Esteban et tant d’autres marques encore, de réels petits bijoux qu’on ne se lasse pas de porter (Do Son Volutes, Modern Chypre...) Cierge de Lune m’a semblé une vanille doucement fleurie, joliment épicée, assez vibrante au fond, pas écoeurante pour un sou et qui ne deviendrait enveloppante et sensuelle que sur le tard (fine note cuirée/ambrée) Mais je n’ai pas craqué. Je vous avouerai que j’avais trop à sentir dans cette boutique ce jour-là où j’allais découvrir, présentée par son auteur, la marque La Parfumerie Moderne. Donc à re-tester.