Hugo
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Décidément, les parfums Courrèges filent un joli coton. Présenté par la marque comme le « récit d’un soir d’été », celui-ci offre un sillage intime et délicatement régressif.
il y a 12 heures
Bonjour Dioressence ? Je ne sais pas si on peut le qualifier de sec mais une fine brume de(…)
Église en flammes
Fraîcheur souterraine
À fond la gomme
S’il n’y avait pas de "mainstream" il n’y aurait pas de niche... et s’il n’y avait que des niches pourrait-on dire que ce sont des niches ? je vous laisse réfléchir. ;-) Je déteste la marque Boss et je n’ai jamais pu m’y faire. La marque et les produits qu’elle divulgue. Je déteste donc cet Hugo qui aurait dû être l’un de mes parfums étant de cette génération qui avait 20 ans en 92 et qui aurait dû passer de Drakkar noir Azzaro ou Fareneiht à Hugo.
Premier parfum de ce que l’on ressentait alors comme la "nouvelle parfumerie"... produit industriel. Cheap, burk...
Devenu classique depuis ? Je déteste donc et parfois c’est bien agréable de détester. Alors là, j’adore !
A l’occasion de la sortie de la version EDP, (très similaire mais plus "long lasting") que l’eau de toilette initiale, on redécouvre ce flacon pur, cette fragrance "gros sabots" fraiche et sucrée... hyper artificielle ?!
Après une très longue traversée du désert en ce moment je me dis que puisque je ne trouve pas du beau pour m’adopter et que toutes les beautés bien faites s’envolent en quelques heures et ne tiennent aucune vraie promesses, je m’asperge depuis quelques jours de cette EDP, comme un désir d’accident, un voyage aux antipode un choc entre mon corps et ce qu’il va dégager d’antinomique... comme un geste à la Jeff Koons !!
Et j’adore. Je trouve même parfois qu’il sent très bon. Le geste faisant du produit une sorte de niche, pas besoin d’invoquer Etat Libre d’Orange pour la provoc, tout est dit et le pire c’est qu’on me complimente ! Combien de temps vais-je aimer tenir la performance...