Famous Deaths, l’odeur de la mort...
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Compositrice de fragrances indépendante et rédactrice pour Nez, la créatrice nous explique comment le parfumeur se joue de notre odorat avec sa palette.
il y a 15 heures
L’actuelle version EDP, testeur neuf en grand magasin, n’est franchement pas à négliger. Moins(…)
Lavande délavée
Église en flammes
Fraîcheur souterraine
bonjour,
déjà un fondamental : Solance je suis très sincèrement désolée pour votre perte récente.
Sur l’expo : commencer par le caisson pour mettre dans l’ambiance, c’est mettre dans la position du maccabé après toilette mortuaire dans son caisson réfrigéré, mais pas dans celle du vivant qui va passer de vie à trépas : c’est un énorme biais, donc le truc est foireux pour moi (et fait pour racoler, ce qui ne me choque pas mais cadre mal avec une démarche radicale et donc réellement artistique).
Par exemple, JFK devait être tout gonflé de fierté, ivre de son pouvoir et vrillé par ses douleurs chroniques, dans une voiture sans capote cheveux au vent avant les impacts : en reconstituant ça, peut-être pourrions nous alors mieux approcher sa fin de vie ( ce qui était le concept) et l’odeur aurait toute sa valeur pour coller une 4 dimension au bidule.
Quant au caisson, je marche si on y diffuse une décoction mortelle, qui est à la base la même pour tous, chair putride, avec des variantes fluides corporels, désinfectant ou formol, Elnett si option coiffure, etc. Là pour moi on est cohérent, on est dans le brief. Et ça peut même intéresser Sheldrake et Serge.
Mon concept est libre de droits, sauf si ça rapporte un max bien sûr :D !
Belle journée à vous, Aurélie.