Tourmaline Noire
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À travers cette quatrième création, Isabelle Larignon imagine un personnage en quête de liberté, cherchant l’exode à la faveur d’une longue soirée d’été.
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Nuit blanche
Volutes et voluptés
On dirait le Sud
Je vous admire (et vous envie) tous pour vos jolies évocations, car j’ai testé hier cette Tourmaline noire (avec Passacaille) et franchement, sur ma peau, ça n’est pas du tout ça...
On démarre par un poivre très... poivré, il n’y a pas d’autre mot, tellement ça pique le nez (l’encens en est quasiment éclipsé), puis ça se calme un peu mais sans pour autant devenir transcendant, hélas : je n’ai jamais toutes les nuances subtiles que je vois évoquées ici et là... Les épices, que j’aime pourtant bien, sont absentes ou quasiment -
Et pour parachever le tout, ensuite apparaît (au bout d’une petite demi-heure ?) une note fumée, presque "chips goût bacon" qui met le coup de grâce à ce parfum sur ma peau :-((
Et je n’ai presque pas senti l’encens...
J’aurais bien aimé pouvoir tomber amoureux de cette Tourmaline noire, me retrouver transporté dans un monde imaginaire tel que vous le décrivez, mais force est de reconnaître que sur mon bras, la magie n’agit pas :-(