Kouros
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À travers cette quatrième création, Isabelle Larignon imagine un personnage en quête de liberté, cherchant l’exode à la faveur d’une longue soirée d’été.
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Nuit blanche
Volutes et voluptés
On dirait le Sud
La première fois que j’ai senti ce parfum -simplement découvert grâce à un échantillon- j’étais adolescente et il m’a subjuguée. Impossible d’éloigner mon nez de ce petit flacon, ou de mon poignée sur lequel j’en déposais quelques gouttes : c’était une véritable addiction et je me suis dit que plus tard l’homme de ma vie devrait le porter. Je ne saurai dire ce qui me fascinait dans cette odeur, en tout cas quelque chose de profondemment animal.
Puis je l’ai oublié, j’ai rencontré "mon" homme à qui j’ai offert Hugo (rien à voir, je sais, mais j’adore). Jusqu’à ce que je travaille avec un homme qui portait Kouros à merveille. Ce qui m’a donné l’idée de l’offrir à mon compagnon (il était peut être temps qu’il change de parfum, me suis-je dit, et son flacon d’Hugo était en fin de course). J’ai quand même eu un doute au moment de la vente et la vendeuse a eu la bonne idée de m’en faire un échantillon pour qu’il l’essaie (j’aime ce genre d’attention de la part des vendeurs vraiment compétents qui ne cherchent pas à vous vendre leur truc à tout prix). Résultat sur mon homme : épouvantable ! Kouros ne lui va pas du tout, sur lui ça fait vieux monsieur lubrique. Lui même n’a pas aimé du tout. Je ne sais pas si ça tient à la peau ou à la personnalité, ce qui est sûr c’est qu’un parfum, c’est vraiment une histoire d’alchimie !
Finalement je suis retournée voir ma gentille vendeuse, et j’ai opté à nouveau pour Hugo qui lui va comme un gant (comme quoi, quand on est commerçant on gagne toujours une vente).