Ambre Russe
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Parce qu’à l’approche de l’hiver, les sillages se font volontiers plus ambrés, plus ronds, plus chaleureux, nous vous proposons cette nouvelle revue de sorties, consacrée à une matière que l’on croyait trop rebattue pour encore surprendre.
il y a 3 jours
La vanille... quel pari risqué, sans compter le summum de l’originalité ! (Rires).
Brut de gousse
Sillage anthracite
Intime conviction
Très belle et bonne année, cher Opium ! Une année d’inspiration, et de respiration.
Quant à ton article sur Ambre Russe : voilà qui est bien senti, et la comparaison de ce parfum symphonique, et héroïque, avec Beethoven est assez juste. Lequel Beethoven n’est certes pas l’éternel second d’un Mozart ! (Il lui est même supérieur, mais nous n’allons pas dresser le hit-parade des génies.)
La comparaison avec Burger King est une plaisanterie sur laquelle il n’est pas besoin d’insister !
Je me rappelle mon premier contact avec Ambre Russe. Je l’ai trouvé tellement fort, tourbé, fumé, bouillant, baroque, si débordant d’un peuple bigarré et noctambule, que je n’ai pu le garder : j’ai tenté d’en dissiper la trace sur ma peau, en m’arrosant d’eau... Sans grand succès d’ailleurs. Ce premier choc passé, j’y suis revenu, avec cette fois plaisir et émotion, comme toujours avec les créations de Marc-Antoine Corticchiato, qui est un vrai grand artiste. C’est aussi l’un des parfums favoris de mon père.
M. Corticchiato parle de la genèse de ce parfum dans l’interview qu’il m’a acordée, sur le présent site. J’invite les lecteurs à aller y voir.
Bravo pour ton article et encore tous mes vœux.