Protection intellectuelle du parfum, vers un changement ?
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À travers cette quatrième création, Isabelle Larignon imagine un personnage en quête de liberté, cherchant l’exode à la faveur d’une longue soirée d’été.
hier
Comme vous l’avez admirablement décrit ! Il a été depuis supprimé du catalogue. J’ai trouvé un(…)
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Quelle chance ! J’ai retrouvé une ancienne vendeuse du défunt Barneys New York au corner Guerlain(…)
il y a 4 jours
Dans les années 60, Câline de Jean Patou fût le premier parfum réservé aux jeunes filles. En avance(…)
Nuit blanche
Volutes et voluptés
On dirait le Sud
Aryse, ton exemple me renvoie à un autre parfum, toujours chez Dior. Et pas des moindres puisqu’il s’agit du fameux J’Adore. A sa création, c’était un beau floral-fruité, avec des notes vertes en tête, un beau fond boisé. Aujourd’hui, les notes vertes ont disparu depuis longtemps, et chaque nouveau flacon acheté ou offert me donne la sensation d’un parfum de plus en plus lourd et gras, sentant le monoï, la fleur de tiaré. On est très loin de la fragrance d’origine créée par Calice Becker, et massacrée par François Demachy...