Protection intellectuelle du parfum, vers un changement ?
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À travers cette quatrième création, Isabelle Larignon imagine un personnage en quête de liberté, cherchant l’exode à la faveur d’une longue soirée d’été.
il y a 1 heure
Feuilles de tomate, cassissier et rhubarbe... J’imagine le parfum un peu âpre ? Ça doit être très(…)
il y a 5 jours
De mon flacon original acheté fin 1988, au retour d’un voyage à Venise où je l’avais senti non loin(…)
il y a 6 jours
Bonjour Nez inexpert, Pour vous consoler, je ne saurais trop vous conseiller Vétiver Royal(…)
Nuit blanche
Volutes et voluptés
On dirait le Sud
Aryse, ton exemple me renvoie à un autre parfum, toujours chez Dior. Et pas des moindres puisqu’il s’agit du fameux J’Adore. A sa création, c’était un beau floral-fruité, avec des notes vertes en tête, un beau fond boisé. Aujourd’hui, les notes vertes ont disparu depuis longtemps, et chaque nouveau flacon acheté ou offert me donne la sensation d’un parfum de plus en plus lourd et gras, sentant le monoï, la fleur de tiaré. On est très loin de la fragrance d’origine créée par Calice Becker, et massacrée par François Demachy...