"J’ai ce mot sur le bout du nez", ou pourquoi il est si compliqué de parler des odeurs
Signaler un abus
Vous devez être connecté pour signaler un abus.
Vous devez être connecté pour signaler un abus.
Julien Rasquinet fait le choix d’une interprétation tellurique pour donner corps (et odeur) à un numéro riche en symboles.
il y a 1 mois
Je ne sais pas si un message sur un post aussi vieux sera lu mais il me reste toujours du jus(…)
Des airs de famille
Bain d’épices
Petitgrain devient grand
Bonjour Opium, j’ai pensé à vous hier car j’ai lu une anecdote sur le site internet de l’Express assez marrante sur la création de l’accord amaretto dans L’Homme Idéal. Il a en effet été créé un peu "par hasard" par Thierry Wasser, je m’explique : Thierry Wasser recherchait le défaut de la qualité de l’amande : son franc-parler. Voici ce qu’il en dit : "Elle est pénible à vivre, car elle a besoin d’être calmée par la fleur d’oranger. Mais je n’ai rien inventé, j’ai piqué l’amande qui se trouve dans Jicky, créé en 1889. Elle m’a sauté au nez un mercredi où j’assistais à sa distillation. Pourquoi ai-je eu ce jour-là un tel choc olfactif, alors que je la sens par centaines de kilos chaque semaine ? Je ne le sais pas moi-même !" Comme quoi, vous avez bien raison, parfois même chez les nez les plus aguerris, une odeur particulière, un jour comme les autres, peut venir tout boulverser dans une création ! Bonne journée !