Dior Addict Eau de Toilette
Signaler un abus
Vous devez être connecté pour signaler un abus.
Vous devez être connecté pour signaler un abus.
La fondatrice de Sabé Masson et le fondateur de The Different Company reviennent sur les défis rencontrés par les maisons de parfum indépendantes.
hier
Bonsoir, pour ma part et pour avoir porté les deux sur de longues périodes, je ne trouve pas du(…)
il y a 1 semaine
Comme vous l’avez admirablement décrit ! Il a été depuis supprimé du catalogue. J’ai trouvé un(…)
il y a 1 semaine
Quelle chance ! J’ai retrouvé une ancienne vendeuse du défunt Barneys New York au corner Guerlain(…)
Eau écarlate
Nuit blanche
Volutes et voluptés
Bonjour,
Je vais ajouter mon petit grain de sel aux derniers commentaires avec lesquels je suis en parfait accord. La comparaison avec l’alimentation est fort juste et bien explicite, on pourrait aussi faire les même analogies avec la musique. Prenons un génie absolu ; Mozart, que l’on peut à titre personnel aimer ou pas, être peu attiré par ses compositions, son univers musical, que l’on trouve peu accessible, etc. Cependant, on ne peut pas pour autant affirmer qu’un chanteur populaire, prenez n’importe lequel, est du même niveau, ni nier le caractère novateur et l’importance musicale de Mozart. Vous pouvez certes préférer écouter le dit chanteur populaire pour diverses raisons toutes aussi valables les une que les autres, mais crier au génie...là cela devient discutable. Maria Callas n’aimait guère chanter dans les opéras de Mozart, elle ne s’y reconnaissait pas, son Graal musical allant vers les rôles dont le tragique est plus évident : Médé et Norma dans son cas. L’expression de ces préférences était parfaitement légitime et cohérent d’autant plus que cela résultait d’une excellence connaissance. Si on revient à la parfumerie, on peut être néophyte et s’exprimer, c’est très bien et cela alimente en diversité les blogs, l’unanimité se révélant souvent ennuyeuse. Il vaut mieux cependant être conscient que nos goûts vont s’affiner et que, peut-être, notre adoration du moment se transformera en "parfums de la honte" dans quelques années, ce qui n’est pas tragique non plus. Et l’argument du nombre me laisse dubitative : pas plus en musique qu’en parfumerie, la quantité de consommateurs/trices n’est garant d’une qualité intrinsèque. Bon, ça n’apporte sans doute rien de plus à l’édifice et au final révèle surtout mes goûts musicaux.