Des bébés "à croquer"
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Le vintage est à la mode et de nombreuses maisons (plus ou moins) historiques ont relancé récemment des collections de parfums après de longues années d’absence ou de discrétion. Nous vous proposons un tour d’horizon de ces fragrances revenantes.
il y a 5 jours
J’avais senti par curiosité la version elixir de la Panthère, et lui avais trouvé quelque chose de(…)
il y a 5 jours
Selon moi, la version élixir de "La panthère" est la variation vanille et fleur de tiaré (monoï)(…)
il y a 6 jours
Dans les années 80, les parfums avaient du coffre. Ils sentaient le cuir, la mousse, l’audace.(…)
Bonbon solaire
Faits et zestes
Brut de gousse
Bonsoir Zab63.
Oui, inclure les hommes serait utile. Mais, je suppose que cela a un coût (celui de la population à tester qui doit être multipliée par deux par exemple).
Pour ce qu’il en est de l’inné ou de l’acquis, c’est une question fort intéressante. Je dis cela d’autant plus qu’en tant qu’ancien étudiant en sciences humaines, c’est même la question fondamentale. Mais, c’est une question qu’il est fort difficile d’évacuer de manière simple.
Je ne citerai que brièvement un exemple, celui de l’autisme. Lorsque j’ai fait mes études, les théories qui avaient le vent en poupe à l’époque étaient plutôt les théories psychanalytiques. Dix à quinze ans plus tard, on connaît tout un ensemble de facteurs génétiques. Et, voilà comment on est passé d’un discours que certaines femmes avaient du mal à vivre, celui de la psychanalyse qui faisait l’hypothèse d’un déficit d’attachement maternel, à un autre discours où des parents culpabiliseront de la roue de la malchance génétique.
Bref, tout cela pour rappeler que, effectivement, cette question de l’inné et de l’acquis est très difficile à débattre de manière qui soit suffisamment étayée, et là, je n’ai fait que survoler un point qui montre que la science avance petit à petit et pas au pas de course, mais, ici n’est pas le lieu pour un cours de psychologie... ;-)
J’évoquerai encore juste un dernier point : effectivement, chez l’humain, la part de l’influence environnementale est l’une des espèces chez qui elle joue au maximum si ce n’est l’espèce la plus modulée par son environnement. En effet, si le petit homme naît "inabouti" au sens de pas entièrement capable des mêmes choses que l’être adulte (se déplacer, parler, écrire etc), c’est en réalité une chance car cela permet aux apprentissages de se faire à plein régime. Certains mammifères naissent en sachant déjà marcher et faire tout un ensemble de choses alors que le bébé humain est très dépendant de son environnement (parents et autres), ce qui constitue une sorte de carte qui reste encore à écrire. Et, cela est une excellente nouvelle ma foi puisqu’elle révèle que la vie acquière encore une nouvelle utilité, celle d’être la source des expériences de l’humain ! (Même si cette bonne nouvelle c’est aussi par la même occasion beaucoup de travail pour les parents, du genre : "Dis, maman/papa, pourquoi ? Et, pourquoi ? Et, pourquoi ?"... ^^)
Bonne soirée.
Opium