Les Exclusifs
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Compositrice de fragrances indépendante et rédactrice pour Nez, la créatrice nous explique comment le parfumeur se joue de notre odorat avec sa palette.
il y a 21 heures
Bonjour, Merci pour votre retour. Je n’ai malheureusement pas l’occasion d’aller à la capitale.(…)
Lavande délavée
Église en flammes
Fraîcheur souterraine
J’ai envie ce soir de rebaptiser 31 Rue Cambon par La Grosse Prune du Milieu (LGPM) voire Au milieu, un Gros Pruneau Irisé (AGPI).
Sans doute est-ce mon odorat défectueux, puisqu’aucun article de quelconque blog de perfumista ne parle de (grosse) prune pour ce parfum... Je ne comprends pas.
J’en ai désormais une bouteille de 200 ml. neuve (obtenue à 111 €, soit 140 € d’économie sur le prix public) ; j’aurais idéalement préférer commencer avec Bois des Iles, N°22, Cuir de Russie, voire Sycomore – mais il n’y a pour ainsi dire que du Beige et du 1932 sur Ebay !!
Et puis, il me fallait absolument une première bouteille "Les Exclusifs" de 200 ml., elles sont tellement belles (j’aime pas celles de 75 ml., comme quoi il m’en faut peu...). J’en avais marre d’attendre, et j’ai sauté sur l’occase, la semaine dernière.
Durant ce que j’appelle la Phase du pruneau irisé(e), qui dure au moins deux heures sinon trois sur ma peau, c’est un peu trop "femme" voire "matrone" pour moi (à côté, je trouve le N°5 et le N°19 presque "virils", c’est dire...). Mais bon, j’aime bcp quand même, et au point où j’en suis...