La vie est belle
Signaler un abus
Vous devez être connecté pour signaler un abus.
Vous devez être connecté pour signaler un abus.
La fondatrice de Sabé Masson et le fondateur de The Different Company reviennent sur les défis rencontrés par les maisons de parfum indépendantes.
il y a 16 heures
Vapos... Grrr... Sur le fond, entièrement d’accord avec vous. C’était nettement plus responsable.(…)
il y a 16 heures
Bonjour Arpège, Je me permets d’embrayer sur le budget... Nous qui avons connu le 20e siècle...(…)
il y a 18 heures
Chez GUERLAIN dans la Collection L’ART ET LA MATIÈRE, existe un vaporisateur rechargeable d’une(…)
Eau écarlate
Nuit blanche
Volutes et voluptés
Il fait pluvieux et triste, je prévois de passer la matinée chez moi sur l’ordinateur : c’est le moment idéal pour piocher dans mes échantillons. Adonc, je retombe sur LVEB qu’une vendeuse a dû mettre avec mes achats sans que je n’y prête attention. Dans un moment d’inconscience, je me demande s’il est aussi mauvais que dans mon souvenir, et je me pschite le dos de ma main... et je me prends un coup de poing olfactif. J’essaie bien de patienter un peu, me dire que ça évoluera peut-être, mais en moins de cinq minutes je suis en train de savonner ma main pour me débarrasser de l’infection. Et là, illumination.
A plusieurs reprises au cours des dernières semaines, j’ai été incommodée par une trace d’un parfum insupportable dans les toilettes de mon lycée (je suis prof). J’ai maudit la collègue qui se parfumait ainsi sans savoir qui c’était (je ne sais toujours pas d’ailleurs), et je pensais : "ça pue, mais je connais ce parfum, et pourtant ça pue vraiment, mais qu’est-ce que c’est..." Maintenant, je sais. LVEUn Danger Public.
Une fois ma peau bien poncée (LVEB est vraiment d’une ténacité terrifiante), une goutte d’huile essentielle de cèdre, et la vies est tout de suite beaucoup plus... paisible.