Cuir Mauresque
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Une légende dit que le bois d’oud arriva au Japon porté par les eaux, et fut sorti du sable et du sel par des pêcheurs.
il y a 12 heures
Encore une attaque gratuite de Blanche ! Décidément qu’elle est subversive cette fille ! Et en(…)
il y a 16 heures
Bonjour inexpert, En fait on était encore le 13 pour moi (décalage horaire oblige)... il était(…)
Accord intercontinental
Lavis en rose
L’encens sans l’église
Avec Mona di Orio, on entre directement au paradis : son vétiver est plus extraordinaire encore que celui de Frédéric Malle ; à un concours, sa vanille raflerait tous les prix ; et son oud, matière qui ne m’emballe pas outre mesure, fut l’une de mes grandes découvertes de l’an dernier. Mais tout cela a un prix...
Je me souviens de mes débuts dans la parfumerie de niche, ma rencontre avec les Lutens, les Goutal (géniale sa Vanille exquise) ainsi qu’avec les premières créations de Mona di Orio. Lux, si fin, si délicat, si lumineux, Carnation qui porte divinement son nom, Nuit Noire, mystérieux et très chic, Chamarré, plutôt complexe, et Oiro, un jasmin facetté absolument ensorcelant. Tous ces parfums ne sont plus disponibles à Bruxelles, et je crois même que certains n’existent plus (?) En attendant, la série des Nombres d’Or peut combler les attentes les plus démesurées : on s’approprie les créations de Mona comme nos vêtements préférés, ce sont de véritables amis, mieux : des complices !