Serge Lutens à l’antenne !
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Julien Rasquinet fait le choix d’une interprétation tellurique pour donner corps (et odeur) à un numéro riche en symboles.
il y a 5 jours
Bien joli parfum que celui-ci mais comme pour Nez inexpert qui le décrit très bien, cette(…)
il y a 6 jours
Elle n’a pas l’air d’émouvoir les foules, cette Hermessence. Trois ans après le lancement, me voici(…)
il y a 1 semaine
Bonjour à toutes et tous, Je craignais une reformulation, mais fort heureusement, non. Si elle(…)
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Petitgrain devient grand
en fait c’est surtout que ce n’est pas une intervieuw, c’est une mise en scène. On a l’impression qu’ils récitent du Racine pq voilà c’est comme ça, le monde est le théâtre baroque concu pour mettre Lutens en évidence et le présentateur c’est Lully qui lui lèche les pieds tellement il a peur. Evidemment ça ne parle que de grandes références artistiques mais pourquoi ? qu’es qu’on apprend ? En fait non c’est de l’étalage pour dissimuler du vide mais le personnage est drôle (et un peu pathétique).
Quelle différence avec les intervieuws des nez, ou les références artistiques ne sont pas étalées comme de la confiture mais servent à illustrer une explication. C’est sans doute la différence entre un autodidacte et un académicien qui a réussi. Le premier risque de devenir très imbu de ses connaissances accumulées et se croit unique, le second est former pour rationnaliser sa pensée, pour donner une explication claire.