Champs-Élysées
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À travers cette quatrième création, Isabelle Larignon imagine un personnage en quête de liberté, cherchant l’exode à la faveur d’une longue soirée d’été.
il y a 15 heures
c’est un joli parfum frais et doux. Je trouve qu’une femme de 50 ans et plus peut tout à fait le(…)
il y a 16 heures
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il y a 17 heures
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Nuit blanche
Volutes et voluptés
On dirait le Sud
Bonjour !
Bravo et merci pour cette belle critique Jicky. J’aime bien quand on approche une création autrement par la voie classique "pyramidale", aussi pertinente et légitime que puisse être, bien entendu, ce point d’entrée.
Digression mode on : Aimer avec (et non malgré) les imperfections ou les défauts, une idée simple mais ô combien essentielle qu’il est bon de rappeler car, par rétroaction ou réflexion, elle nous remet aussi en quelque sorte à notre place- aux yeux de quelqu’un d’autre, on traine ses imperfections comme douze pschitt de One Million en eau de parfum concentré extrême intense ;) - oui je sais il sent super trop bon et qu’il déchire, c’est juste pour rigoler quoi lol.
Pour en revenir au jus, je ne l’ai senti, hélas, qu’une fois sur touche lors d’une excursion rapido au printemps Haussmann. Je crois bien qu’il me donnait plus l’impression d’appartenir à la collection des Aqua Allegoria... ou un truc du genre. Éloigné qu’il était de la trame des Guerlain disons, "phare".
A redécouvrir donc !
A bientôt !