Champs-Élysées
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Une légende dit que le bois d’oud arriva au Japon porté par les eaux, et fut sorti du sable et du sel par des pêcheurs.
il y a 20 heures
Bonsoir, Je ne sais pas si vous habitez Paris mais il en reste un peu au Printemps Beauté, au(…)
il y a 23 heures
Epoustouflant vétiver fumé et élégant, un peu liquoreux. Haut de gamme.
hier
Bonjour à tous, Je n’arrive pas à croire qu’aucun avis n’ait jamais été publié sur cette petite(…)
Accord intercontinental
Lavis en rose
L’encens sans l’église
Bonjour !
Bravo et merci pour cette belle critique Jicky. J’aime bien quand on approche une création autrement par la voie classique "pyramidale", aussi pertinente et légitime que puisse être, bien entendu, ce point d’entrée.
Digression mode on : Aimer avec (et non malgré) les imperfections ou les défauts, une idée simple mais ô combien essentielle qu’il est bon de rappeler car, par rétroaction ou réflexion, elle nous remet aussi en quelque sorte à notre place- aux yeux de quelqu’un d’autre, on traine ses imperfections comme douze pschitt de One Million en eau de parfum concentré extrême intense ;) - oui je sais il sent super trop bon et qu’il déchire, c’est juste pour rigoler quoi lol.
Pour en revenir au jus, je ne l’ai senti, hélas, qu’une fois sur touche lors d’une excursion rapido au printemps Haussmann. Je crois bien qu’il me donnait plus l’impression d’appartenir à la collection des Aqua Allegoria... ou un truc du genre. Éloigné qu’il était de la trame des Guerlain disons, "phare".
A redécouvrir donc !
A bientôt !