Cuir Mauresque
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Compositrice de fragrances indépendante et rédactrice pour Nez, la créatrice nous explique comment le parfumeur se joue de notre odorat avec sa palette.
il y a 15 heures
Bonjour, Merci pour votre retour. Je n’ai malheureusement pas l’occasion d’aller à la capitale.(…)
hier
Je vous conseille également L’Instant pour homme, un patchouli élégant, gourmand qui est assez(…)
Lavande délavée
Église en flammes
Fraîcheur souterraine
J’ai senti The Tabac Blond de Tonton Zoro, qui date des années 60. C’est de loin la plus belle version de Tabac Blond que j’ai senti de ma vie (lol, genre le gars ça fait 60 ans qu’il baigne dedans quoi... Pfff mais redescend sur Terre pov´ type).
En fait, il correspond beaucoup plus à l’idée de que je me fais d’un parfum : plus lumineux, plus dansant, plus aérien avec une vraie texture et un fondu très joli.
Après, le problème reste le même : pourquoi le type il t’a foutu la Caronnade dégoulinante d’eugénol, et toutes les conneries ambrées épicées derrière quoi ???
Là, je sens le fond cuiré. C’est beau mais ça m’en touche une sans faire bouger l’autre comme qui dirait (mon dieu ce que je suis raffiné aujourd’hui #GrosPlouc).
Insolence c’est quand même mieux (mouaaaaah ah ah ! Genre la comparaison pas pertinente du tout :p). Plus sérieusement, j’avoue que mon cuir de référence reste le Cuir de Russie de Chanel : là tu as une vraie ligne directrice, une véritable construction olfactive avec des jeux de lumière etc. Enfin voilà... (Vous constaterez ma magnanime noblesse des deux derniers jours : deux tests de Tabac Blond en différentes versions en moins de 24h)
(j’ai le Bottega Veneta pour homme sur mon poignet gauche, ça c’est un cuir magnifique !!! J’en parle dans la brève appropriée dans deux secondes)