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Rencontre avec le parfumeur et fondateur de la marque L’Entropiste, lors du lancement du dix-neuvième numéro de Nez, la revue olfactive.
Bain de tendresse
Mimosa bleu
Eau archangélique
Ah, moi c’est Jicky ^^ Patrice il est plus haut !
Ne vous inquiétez pas pour toutes les vies, dans l’atlas des nuages, vous vivez à la fin du XIXème siècle, dans les années 30, dans les années 70, en ce moment même, dans une bonne centaine d’années et dans un temps encore plus lointain ;)
Patrice, Vol de Nuit ou Shocking sont des parfums des années 30 mais sont loin d’être des aldéhydés. De plus, s’il existe bien quelques aldéhydés vraiment chauds (personnnellement je n’en vois qu’un - Arpège - et à la limite Liu, et encore !), la brillance des aldéhydes apportent un réel contraste que ne possède pas vraiment la fleur de cassie. Il n’y a pas cet effet de départ très vibrant (j’ai toujours l’image d’épées dans les nuages) qui élève la composition et se fond dans le reste au fil du temps. On tombe ici presque de suite dans un floral, avec tous les effets un peu alcoolisés et denses des essences et absolus de fleurs, ainsi que leurs notes souffrées. D’ailleurs, ça correspond plutôt bien à ta description d’UFDC, notamment sur l’effet dense et ce que je vois comme l’effet mat.
Les aldéhydés font plus années 20 je trouve (même si y’a un gros revival dans les années 60, accompagnés des nouvelles notes de cette époque comme les notes vertes), là où je suis vraiment d’accord avec le descriptif de Malle qui décrit UFDC comme ayant une vibration typique des années 30, qui sont un peu plus fourrures (même si beaucoup des aldéhydés anciens sont fourrures, là on entre tout de suite dans des différenciations beaucoup plus subtiles). Bref, j’espère avoir été assez clair ^^