Invictus
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Compositrice de fragrances indépendante et rédactrice pour Nez, la créatrice nous explique comment le parfumeur se joue de notre odorat avec sa palette.
il y a 4 heures
Bonjour, j’adore ce parfum, il me reste un fond de flacon que j’économise. Il devient(…)
il y a 19 heures
L’actuelle version EDP, testeur neuf en grand magasin, n’est franchement pas à négliger. Moins(…)
Lavande délavée
Église en flammes
Fraîcheur souterraine
Ah ah c’est trop énorme les travers que vous décrivez lolo puisqu’il semblerait que depuis quelques jours, le référencement efficace d’auparfum rameute exactement cette cible : sexe, séduction, jeunisme (coucou powa : j’ai 19 ans, je porte du Guerlain de 1830 et mon épanouissement sexuel te salue)...
Ce qui est plus énervant, c’est qu’en tentant de démontrer petit à petit qu’Invictus n’est pas un très bon parfum (saisissez mon sens de la litote), on essaye de ne pas tomber dans la critique pure et simple de la cible visée mais on tente bien d’établir des arguments notamment olfactifs (mais pas que, ce n’est pas le goût d’Opium pour la sociologie qui dira le contraire !). Il semblerait que les "défenseurs" de Invictus s’arrêtent hélas au critère zizi et deviennent agressifs envers les vieux râleurs d’auparfum.
Bon en tout cas je crois que le message est clair : si vous voulez pécho, vous avez là un parfum tout trouvé. Pécho quoi ? Bah si on va dans le cliché, ce sera sûrement une jeune femme fraîchement parsucrée à La Vie est Belle et Loverdose... Vous me permettrez de passer mon chemin ?