Bois des Îles
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Julien Rasquinet fait le choix d’une interprétation tellurique pour donner corps (et odeur) à un numéro riche en symboles.
il y a 1 mois
Je ne sais pas si un message sur un post aussi vieux sera lu mais il me reste toujours du jus(…)
Des airs de famille
Bain d’épices
Petitgrain devient grand
Ca y est, j’ai craqué pour 200ml de Bois des Iles ; je fantasmais dessus depuis que je l’avais senti en février dernier aux Galeries Lafayette. Et souvent, je me suis dit que c’était déraisonnable, puisque je voulais aussi Coromandel, Cuir de Russie. Mais BdI est, bien que très féminin, puissamment masculin pour qui ose le porter ainsi (moi ! ;)). Je crois que la tenue est pas démente. J’ai essayé l’extrait qui est plus alcoolisé, et bizarrement que je trouve moins capiteux, moins enveloppant que l’Edt.
Je dois signaler l’accueil toujours adorable des conseillères aux Galeries (qui n’a pas été avare d’échantillons, je pense qu’elle m’a mis tout son stock dans mon petit sac au camélia !)
A signaler que d’ici septembre, il y aura de nouveaux exclusifs en extrait en plus de l’Edt existante (j’ai le souvenir de Jersey, mais n’est pas fait attention aux autres qui m’ont été dit).
Bref, pour moi, Bois des Iles est MA signature olfactive, peut être surtout pour l’hiver et je m’autorise des infidélités, mais ce parfum a pour moi une belle évolution sur peau et quelque chose qui m’interroge et me surprend à chaque coup de nez.
@+
Lanou