Annick Goutal fait peau neuve
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À travers cette quatrième création, Isabelle Larignon imagine un personnage en quête de liberté, cherchant l’exode à la faveur d’une longue soirée d’été.
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Nuit blanche
Volutes et voluptés
On dirait le Sud
Bonsoir Troudujol,
J’avais emporté des échantillons de cette Nuit étoilée lors de mon passage à la boutique parisienne. J’avais noté à l’époque, il y a un an lors de sa sortie : un départ très vif, tonique, de la menthe poivrée très fraiche avec une pointe de sucre, un givre frais. Puis domine rapidement une odeur de thé marocain à la menthe un peu plus chaud. Du coup, la fraicheur initiale est perdue et la dose sucrée s’amplifie, comme un fruit confit. Je crois que c’est de l’angélique. Elle se double d’un petit piquant vif, du pin facilement identifiable. Au final, j’ai regretté la fraicheur de dṕart vite perdue et remplaçée par ce thé à la menthe un peu trop fort, un peu trop chaud et un peu trop sucré. J’avais noté également une sensation un peu ecoeurante sur mes vêtements le lendemain. Donc, pas de trop bons souvenirs. Maintenant, c’était il y a un an et c’est opinion et (petit) nez personnels.
Très cordialement
ERic