Les parfums de la honte
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Une légende dit que le bois d’oud arriva au Japon porté par les eaux, et fut sorti du sable et du sel par des pêcheurs.
il y a 13 heures
Encore une attaque gratuite de Blanche ! Décidément qu’elle est subversive cette fille ! Et en(…)
il y a 17 heures
Bonjour inexpert, En fait on était encore le 13 pour moi (décalage horaire oblige)... il était(…)
Accord intercontinental
Lavis en rose
L’encens sans l’église
Chère Mado, je ne suis pas d’accord avec vous pour plusieurs raisons.
Tout d’abord, d’un point de vue anthropologique, l’expérience humaine est faite d’apprentissages par mimétisme. L’imitation est donc la base de notre aptitude à vivre en société. On ne crée jamais rien de nouveau ex nihilo seul.
Dans ce sens et je vais en choquer beaucoup, la notion de propriété m’a toujours parue absurde mais c’est un autre débat.
Dans le monde actuel guidé par l’axe commercial-rentabilité, il est évident qu’une copie qualité d’un parfum ne peut pas être vendue à 3€. L’art de la parfumerie est complexe et réclame des compétences qui ont un coût tout comme les matières premières.
D’autre part, je ne pense que le piratage de pirate-parfum, dont l’intention est de vendre de qualité à prix raisonnable, puisse être mis sur le même plan qu’un piratage informatique dont le but est avant tout de nuire ...
Je suis d’accord avec lucasdries, le piratage montre quelque chose d’essentiel qui est déviant dans notre monde actuel notamment concernant l’éthique à laquelle vous faites appel pour défendre le droit de propriété.
Car quelle est l’éthique d’un groupe tel que LVMH ? En a-t’il une d’ailleurs ? A moins que faire toujours plus de profit soit une éthique ?
A chacun d’y réfléchir et de savoir ce qu’il entend par éthique ...