Les parfums de la honte
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À travers cette quatrième création, Isabelle Larignon imagine un personnage en quête de liberté, cherchant l’exode à la faveur d’une longue soirée d’été.
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Nuit blanche
Volutes et voluptés
On dirait le Sud
Alors les parfums de la honte sont surement ceux qu’on a porté dans la période critique adolescence-jeune adulte. Je ne dirais pas que c’est un parfum de la honte mais il est certain que la première fragrance a été achetée par ma mère en supermarché. C’était eau jeune, un flacon vert, je crois me souvenir que c’était à base de chevrefeuille, frais et enjoué. Ca aurait pu être pire. Je vous parle d’un produit disparu car ça date de plus de 20 ans maintenant.
Puis, j’ai porté comme toutes les jeunes filles sages de l’époque Anaïs Anaïs. Les plus vénéneuses portaient quant à elles Loulou.
Ensuite quand les nociphorarionnaud sont apparus, c’était magique !!! S’ouvrait à moi un terrain d’exploration onirique. Il faut reconnaitre cette qualité fonctionnelle à la parfumerie de masse.
J’ai donc pu m’adonner à la quête de fragrances qui m’envoutent, me transportent dans un univers faisant écho à mon propre imaginaire ou encore me surprennent.
Donc mes choix ne se sont presque jamais porté sur les best sellers et c’est là que j’ai commencé ma collection de futurs disparus :-).
Dans le genre surprenant : il y a eu Fantasme de Ted Lapidus, Tendre poison.
Il faudrait que je regarde la collection de flacon vides que ma mère conserve (elle est un peu collectionneuse) :-).