La Petite Robe Noire
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C’est un accord fusant et lumineux entre deux matières pourtant souterraines – le gingembre et le vétiver – qui vient compléter cette année la gamme des infusions de Prada.
hier
Bien jolie collection que ces Malaki de Chopard. Black Incense bien sûr, mais aussi Rose Malaki,(…)
hier
Bonjour à tous, avec beaucoup de retard je m’intéresse seulement maintenant aux créations de(…)
À fond la gomme
Ombres ligneuses
Prendre racine
Étant novice sur ce forum et consciente de ma méconnaissance en termes de parfumerie, j’ai hésité un temps à laisser un avis sur cette petite robe noire. Ce parfum me laisse toutefois une impression si négative que je viens m’épancher ici :
Est-ce ma peau qui fait tourner ce jus ? Je cherche désespérément une explication à cette odeur chimique qui offense mes narines. J’ai à mon poignet La petite robe noire pour un dernier essai avant la sentence de bannissement de ma salle d’eau. Je m’en étais aspergée il y a deux soirs avant d’aller dormir pour le tester. Au matin, ayant oublié sa présence, je me suis demandée quelle était cette odeur déplaisante et inhabituelle avant de retrouver sur ma table de chevet l’échantillon fatal.
Je ne suis pas habilitée à décortiquer les ingrédients de cette mixture mais en quelques mots, cela sent l’adolescente proprette, lisse, ancrée dans son époque qui aura cherché une odeur appétissante pour parfaire sa mise en beauté. En mon temps, j’avais choisi Lolita Lempicka.
Cette odeur qui me semble chimique, à l’instar de celle qui flotte dans les Séphora et cie, me rappelle irrésistiblement à l’esprit une maxime latine peu connue à laquelle j’adhèrerais presque confrontée à ces effluves : bene olet qui nihil olet (il sent bon celui qui ne sent rien).