Dries Van Noten
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Interrogeant les mondes visuels et olfactifs, deux expertes échangent en écho au dossier publié dans le dix-huitième numéro de Nez, la revue olfactive.
il y a 21 heures
Toute une époque que ce VC Pour Homme ! Cuir suave d’une complexité envoûtante. Un grand masculin(…)
il y a 21 heures
Bonsoir Adhara, Merci de nous avoir communiqué cette bonne nouvelle. En fan de ce mythique(…)
il y a 21 heures
Profitez-en il y a une promo sur leur site web en ce moment sur plusieurs références(…)
Jardin impressionniste
Lavande délavée
Église en flammes
Bonjour,
Je ne fréquente pas beaucoup ce blog par manque de temps, mais je suis une lectrice régulière.
J’adhère tout à fait à l’appréciation de Jeanne Dorée sur ce nouveau parfum, sauf sur un point.
Pour bien connaître le Moyen-Orient, je trouve un peu désolant le cliché d’une clientèle prétendument ignare en parfum (ce qu’on peut lire entre les lignes dans cet article), seulement soucieuse de payer cher et grosso-modo, n’ayant pas de goût.
Je ne vais pas refaire l’histoire, que tout le monde connaît, et rappeler ce que doit le parfum au Moyen-Orient (et plus spécifiquement à l’Islam, bien que MO et Islam n’aient pas à se confondre).
En ce qui concerne les goûts des clients du Moyen Orient contemporain, c’est vraiment mal les connaître que des les réduire à des gens aimant les parfums "orientaux modernes" alors que c’est plutôt le contraire, et bon nombre de mes connaissances de ces régions ont plutôt fait le choix de beaux chyprés ou fleuris, c’est-à-dire qu’elles sont allées vers l’exact contraire du cliché "loukoum" ou Orient revisité...
Bien entendu, il y a la particularité du oud, qui est une matière confinant à la culture même de cette région, et sur lesquels les parfumeurs occidentaux se sont rués avec plus ou moins de bonheur d’ailleurs (et des merveilles au passage).
Certes, il y a une approche plus ostentatoire du luxe (encore qu’il y aurait beaucoup à dire sur notre propre snobisme en la matière) mais de grâce, soyons nuancés et n’allons pas jusqu’à regretter que cette clientèle soit devenue un marché majeur.
Elle possède, contrairement à ce que vous pensez, une véritable culture du parfum, qui n’a rien à envier à la nôtre, bien au contraire.
Bien amicalement.