L’Air du temps
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La fondatrice de Sabé Masson et le fondateur de The Different Company reviennent sur les défis rencontrés par les maisons de parfum indépendantes.
il y a 6 jours
Oui, le site Guerlain m’a répondu la même chose. Vol de nuit n’y est plus vendu mais on peut(…)
il y a 1 semaine
Bonsoir, pour ma part et pour avoir porté les deux sur de longues périodes, je ne trouve pas du(…)
il y a 2 semaines
Comme vous l’avez admirablement décrit ! Il a été depuis supprimé du catalogue. J’ai trouvé un(…)
Eau écarlate
Nuit blanche
Volutes et voluptés
"a part ça, l’air du temps, le parfum qu’à peu près ttes les femmmes dans ma famille a porté à un moment ou un autre !"
Ce commentaire illustre bien la façon dont je perçois L’air du temps, c’est-à-dire comme le parfum par excellence, peut-être plus que tout autre classique, qui s’est longtemps transmis de génération en génération dans les familles, de mère en fille, voire de grand-mère en petite-fille, tel un bijou de famille.
Ce geste de tansmettre un parfum ou un bijou, est très traditionnel, peut-être même un peu vieille France et petit bourgeois, mais en même temps cette volonté de donner un objet en souvenir de soi qui va en quelque sorte traverser le temps et les modes me paraît toujours émouvante et se rapproche beaucoup du message intemporel délivré par L’air du temps, parfum fleuri épicé qui ne se rattache finalement à aucune mode olfactive (à sa sortie, c’étaient les chypres, aux notes vigoureuses un peu sèvères, qui étaient en vogue, ce dont le parfum de Nina Ricci ne pourrait être plus éloigné) et suffisamment doux et frais pour séduire les dames autant que les jeunes filles (bon, c’est un peu moins vrai aujourd’hui, mais ce fut le cas pendant de nombreuses années).