Pi de Givenchy
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Une légende dit que le bois d’oud arriva au Japon porté par les eaux, et fut sorti du sable et du sel par des pêcheurs.
il y a 1 heure
Bonjour, pour avoir testé les patchoulis d’Honoré Payan, j’ai été assez déçue, je pensais retrouver(…)
il y a 13 heures
Bonjour Très bonne idée le layering que je n’ai jamais tenté pour ma part !
hier
Encore une attaque gratuite de Blanche ! Décidément qu’elle est subversive cette fille ! Et en(…)
Accord intercontinental
Lavis en rose
L’encens sans l’église
Pi est un peu le mari (ou le père ?) d’Ange ou Démon de la même maison. Une mandarine en guise d’ouverture hespéridée gourmande et un leitmotiv fève tonka avec son effet "colle cléopâtre" que je retouve dans les deux parfums. Bien sûr, le masculin se pare de notes aromatiques et boisées, là où le féminin est plus fruité et floral, mais les deux ont cet air de famille crémeux et patissier.
Alors, l’accord de fond oriental de Pi mélant le benjoin, la vanille et surtout la fève tonka évite-t-il l’écueil de la gourmandise écoeurante ? Je reste dubitatif !
J’ai aussi trouvé un certain décalage entre le discours publicitaire et le produit lui-même. La publicité est une évocation de l’univers de la science, des mathématiques, de la physique, du progrès et de l’infini. Une réthorique originale, qui nous évite la sempiternelle thématique de la séduction virile et mystérieuse, tout en restant dans une sphère masculine. Honnêtement, derrière ce concept, je m’attendais à un parfum plutôt minéral, peut-être un peu marin/aquatique avec sans doute un coté austère. Et bien non, c’est un jus crémeux et gourmand que nous sert Givenchy ! Sacrés markéteux ;-)