Parfum sucré, oui mais....
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À travers cette quatrième création, Isabelle Larignon imagine un personnage en quête de liberté, cherchant l’exode à la faveur d’une longue soirée d’été.
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Nuit blanche
Volutes et voluptés
On dirait le Sud
Hello,
Je trouve " Alahine " très raffiné, suave plus que sucré. J’ignore pourquoi mais les parfums Téo Cabanel me renvoient à l’époque de la Renaissance. C’est très subjectif bien sûr, Oliva Giacobetti m’évoque le 18ème français ( souvent en tout cas ), la raison ?
Je ne connais que Poison, les déclinaisons pas du tout. Il faut dire qu’il y en a beaucoup une fois de plus, aussi ai-je décidé de rester sur le parfum original, inimitable même s’il n’est pas facile à porter de manière élégante.