Serge Lutens "Le parfum, seul décide"
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À travers cette quatrième création, Isabelle Larignon imagine un personnage en quête de liberté, cherchant l’exode à la faveur d’une longue soirée d’été.
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Nuit blanche
Volutes et voluptés
On dirait le Sud
Tu parles comme si on était en 1992. Mais maintenant, Lutens se casse bien assez le c*l à faire trois parfums par an (Santal Majuscule aussi mignon soit il, a carrément été improvisé. Ça se sent), il n’a plus la puissance d’antan, ni même l’envie. En marketing, il a perdu en com’ et tâtonne par ci par là.
Je dis pas que ça serait dégueulasse, certes (c’est pour ça que je trouve déplacé l’apostrophe m’enfin c’est une autre histoire). Juste mal convenu et pour le coup assez commercial (genre "le-mec-qui-ne-sait-plus-quoi-faire"). Pour Lutens, la seule chose à demander, c’est qu’il prenne son temps. Et là le vient une phrase du petit Prince que je ne dirais pas ici.
Du temps, quelque chose de posé. Du temps et du calme.