Du parfum... à écouter
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À travers cette quatrième création, Isabelle Larignon imagine un personnage en quête de liberté, cherchant l’exode à la faveur d’une longue soirée d’été.
il y a 44 minutes
Bonsoir, pour ma part et pour avoir porté les deux sur de longues périodes, je ne trouve pas du(…)
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il y a 1 semaine
Quelle chance ! J’ai retrouvé une ancienne vendeuse du défunt Barneys New York au corner Guerlain(…)
Nuit blanche
Volutes et voluptés
On dirait le Sud
Je viens de l’écouter, et j’en ressors plutôt frustré, mais pas étonné. Frustré car faire venir deux parfumeurs importants pour mener un entretien si superficiel, où les questions posées témoignent de si peu d’intérêt, de si peu de réflexion sur le sujet abordé, c’est un beau gâchis. L’incapacité de la journaliste, surtout, à approfondir les réponses données, le passage permanent du coq à l’âne, comme si l’on picorait, de-ci de-là, quelque aimable miette de savoir, les questions diffuses ou trop larges, auxquelles il faut répondre en moins d’une minute, tout cela est agaçant. Pas étonné, parce que ce magazine estival ne se démarque pas de la moyenne médiocrité médiatique ; c’est l’inverse qui eût étonné.
Le meilleur moment est encore l’improbable et talentueuse reprise de Nirvana par Paul Anka, superbement interprétée, mais dont le bel arrangement ne saurait cacher les faiblesses inhérentes à la composition même, aussi ingénieuse soit-elle (je suis un peu vache, là ? Non mais, vraiment, quand on trouve un refrain aussi puissant que ce "Here we are now", il faut lui trouver une fin ! Enfin, disons que c’est le côté sans façon du grunge...)