Parfums disparus : flop olfactif ou flop marketing ? 1/4
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Parce qu’à l’approche de l’hiver, les sillages se font volontiers plus ambrés, plus ronds, plus chaleureux, nous vous proposons cette nouvelle revue de sorties, consacrée à une matière que l’on croyait trop rebattue pour encore surprendre.
il y a 20 heures
En revanche, j’étais un peu étonnée que Madagascar, le Baume vanille n’ait pas sa propre critique à(…)
il y a 21 heures
Ah, certains de mes parfums étaient des coups de coeur immédiats : le regretté Traversée du(…)
il y a 21 heures
Bonjour Garance, je n’ai pas encore senti le Madagascar, mais ce que vous en dites sur le doute(…)
Faits et zestes
Brut de gousse
Sillage anthracite
Mon grand drame à moi, ce fût la disparition de la Nuit de Paco Rabanne ! Je devais avoir 18 ans, je le portais depuis 2 ou 3 ans après avoir piqué en douce un échantillon à ma mère. Parce que pour être franche, ce n’était pas un parfum "convenable" pour la jeune fille/femme que j’étais (on m’avait collé Anaïs Anaïs dans les pattes !!!!!......).
Mais ce parfum, quel délice ! Et puis quel plaisir de ne le sentir sur aucune de mes copines (sur aucune de celles de ma mère non plus d’ailleurs !). M’en mettre était comme revêtir la panoplie de LA femme : sensuel, gourmand, surprenant, un rien mystérieux. Un vrai déguisement olfactif.
Cette sortie du marché a été pour moi l’occasion de découvrir la cruauté de la logique commerciale. Dans mon esprit, une fois qu’il était né, un parfum existait pour toujours ! J’en ai fait des parfumeries pour trouver un fond de stock ! Et j’en ai essayé des parfums avant de pouvoir le remplacer ! Jusqu’à ma rencontre avec Jungle en 1994. Mais c’est une autre histoire.