Stephane Humbert Lucas : « Je ne suis pas né à Grasse dans une rose »
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À quelques jours de Noël, nous avons dressé une liste (non exhaustive) des publicités de parfums qui ont croisé notre regard dans la rue. Voici une appréciation - évidemment très personnelle - de ce qui vaut vraiment le coup de nez.
il y a 2 heures
Où donc ai-je lu à propos de 1000 que Luca Turin recommandait à la gent masculine le port de(…)
il y a 5 heures
Jamais je n’aurais validé l’histoire des dix ans de travail autour de la campagne publicitaire(…)
Nombre d’or de l’iris
Songe d’une nuit des thés
Désert brûlant
Woaw, magnifique !
Merci pour ce super compte-rendu !
Ca donne plus qu’envie de découvrir l’homme, la marque et tout l’univers.Je suis souvent passée devant le stand au Printemps, mais je le trouve petit et mal engoncé, comme écrasé, et la psychorigide que je suis n’a pas aimé les ondes qui se dégageaient de l’ensemble architectural (oui je sais je pense à investir dans une bonne analyse :) )
En tous cas c’est intéressant de voir que certaines figures reviennent souvent lorsque les nez parlent : le compositeur de musique, l’ordinateur...
Je cherchais des infos sur Jacques Cavallier hier et du coup je ne peux m’empêcher de faire un rapprochement entre ce que dis Stéphane à un moment et cette citation de Jacques C. : « Lors de mon apprentissage olfactif, j’ai appris à mémoriser 5000 matières premières auxquelles j’ai associé des clichés dans ma tête, qui fonctionne comme une bibliothèque. En plus de ces clichés-la, j’ai des millions de combinaisons en mémoire. C’est du stockage, comme un ordinateur. Le logiciel représenterait la créativité. »